S’il n’y a pas de solution, il n’y a pas de problème…


6a00d834209e6353ef013485361481970cCertains parmi vous ont pu lire que c’était un principe Shadok : Quand il n’y a pas de solution, il n’y a pas de problème. Et bien oui les Shadoks, effectivement, l’ont prise à leur compte et ce n’est pas parce que les Shadoks l’on adopté qu’un principe serait fondamentalement risible et non applicable.

Je vous rappelle que d’autres principes Shadoks ont été appliqué par des grands de ce monde comme : Plus ça rate et plus ça a de chances que ça marche ! 

  • Thomas Edison, avec tous les essais pour inventer la lampe à incandescence, à qui l’on demanda où en êtes-vous et qui répondit : « Je connais 4000 manières de ne pas y arriver, donc j’avance ! »
  • Mickael Jordan avec sa réponse lors d’une interview, à la question « Pourquoi êtes-vous un si grand champion ? » Il répondit : Parce que je rate 200 panier par semaine !

Bon alors revenons à « S’il n’y a pas de solution, il n’y a pas de problème »  et développons un peu…

 Marc Aurèle disait un truc comme : « Mon dieu, donne moi la force de supporter ce qui ne dépend pas de moi, le courage de changer ce qui dépend de moi et la sagesse de faire la différence entre les deux. »

Et voilà une clé qui nous vient des stoïciens eux-mêmes !

Si un problème se pose c’est que vous n’arrivez pas à la solution, alors ?

Alors si vous trouvez la solution le problème disparait de fait.

Si vous ne la trouvez pas, vous la cherchez et vous continuez à avoir le problème. Mais imaginons que la solution n’existe pas, alors … Vous avez un problème à résoudre que vous ne pouvez pas résoudre et donc cela devient une réalité qui ne dépend plus de vous… et je vous renvoie à Marc Aurèle ! Et donc il n’y a plus de problème, effectivement ! Le seul problème restant est le pouvoir que vous avez d’accepter la nouvelle donne.

Perdre son père n’est pas un problème en soit, car il n’y a pas de solution… C’est de ne pas faire son deuil qui est un problème car la je pose en croyance personnelle que c’est possible de faire son deuil…. et donc il y a une solution envisageable….

Donc avoir un problème c’est espérer qu’une solution existe !

Puisque si vous appliquez la solution le problème n’existe pas et si il n’y a pas de solution le problème n’existe pas non plus !

Conclusion et si au lieu de s’occuper du problème nous nous occupions de la solution que nous envisageons… Autrement dit si nous nous focalisions sur notre objectif, cela changerait quoi ?

Certaines de croyances sont neutres, d’autres sont ressources et certaines sont limitantes… Pouvez-vous envisager de changer de croyances ?

 Exemple 1 :

  • « Je crois que la carotte souffre dans l’eau bouillante » donc je ne mange plus de carotte dans le pot au feu !
  • Puis-je changer de croyance ? Et si je croyais que « la carotte ne souffre pas car elle n’est pas équipée pour souffrir, en effet elle n’a pas de système nerveux » alors ?
  • Ouf … Je peux à nouveau faire du pot au feu….

 Exemple 2 :

  • « Si je ne me connais pas parfaitement, je ne peux pas être heureux »… Croyez-vous que cela soit ressource ? Vais-je être heureux un jour ?
  • Puis-je changer de croyance ? Et si je croyais que « l’important c’est le voyage plutôt que le but… C’est en découvrant qui je suis au fur et à mesure j’accède au bonheur »…
  • Ouf le bonheur commence aujourd’hui !

Ces deux exemples permettent de comprendre que le point de vue duquel nous partons oriente nos actions.

« Là où nous focalisons notre conscience nous focalisons notre énergie »

Je préfère me focaliser sur là où je veux aller plutôt que de me focaliser sur le problème… Et vous ?

Bien à vous
Pierre


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